Point culture martiale numéro 1: le grade DAN

Un peu d’histoire…

Dans l’histoire des arts martiaux modernes, au Japon, l’utilisation du terme “DAN” a commencé avec le judo. Les autres disciplines ont suivi graduellement ce modèle pour désigner les grades obtenus au cours de la progression des pratiquants.

Auparavant, au 19ème siècle ce terme avait déjà été utilisé d’une façon peu systématique en Ken Jutsu (technique du sabre).

Le terme DAN n’est pas seulement réservé au domaine des arts martiaux. L’utilisation de ce terme pour désigner des grades est plus ancienne dans différentes activités culturelles japonaises.

Dans le jeu de go, par exemple, le terme DAN est utilisé depuis le 18ème siècle. De nos jours au Japon, le système des grades avec le terme DAN est appliqué aussi à la voie de calligraphie, au jeu d’échec et aussi à l’art des bouliers, qui est la base classique des mathématiques.

Originellement le système de grades s’inscrivait dans l’approfondissement d’un art qui se confondait avec la vie d’une personne. Il constituait en quelque sorte un repère dans l’itinéraire de la vie. Lorsque la notion moderne du Budo est apparue, un peu avant le 20ème siècle, avec la fondation du Judo, c’est dans cet esprit que le système DAN a été adopté.

Il n’y a pas de lien entre la notion de DAN et la compétition ; en combat, la classification de champion importe, en BUDO ce qui importe est la formation d’une personne tout au long de sa progression dont le chemin sur la voie est échelonné par les DAN. Suite à l’expansion mondiale de la pratique des arts martiaux, son usage est maintenant devenu international.

Des responsabilités…

Celui qui s’est appliqué et a persévéré dans l’étude du karaté pour mériter la ceinture noire se distingue des autres étudiants. Être ceinture noire signifie que l’on est parvenu au premier stade de la philosophie du BUDO, et que nous sommes désormais qualifiés pour étudier la subtilité des techniques et méditer le sens profond du karaté.

La ceinture noire ne confère pas seulement un honneur, mais aussi d’importantes responsabilités. Le prestige traditionnel attaché à la ceinture noire, se reporte aussi sur son possesseur. C’est pourquoi le pratiquant doit se montrer digne de cette réputation.

De ce fait, chaque ceinture noire est un ambassadeur du Karaté qu’il représente même à son insu. Il doit donc présenter l’image véritable du karaté, car se conduire dans le dojo ou au dehors de façon contraire aux règles traditionnelles d’honneur et de morale du KARATE DO est préjudiciable, non seulement au possesseur de la ceinture noire, mais aux autres ceintures noires, au dojo qu’il représente, et au karaté tout entier.

Il convient pourtant de se rappeler que s’il existe plusieurs niveaux de DAN, c’est aussi pour marquer le fait que nul n’est parfait et que chacun doit constamment se remettre en cause. Ce n’est pas parce qu’on a obtenu la ceinture noire qu’on devient parfait en tout point.

D’ailleurs, très peu de personnes ont obtenu à la fois le grade de 10ème DAN et la distinction de Meijin (Grand homme accompli). Le Meijin au Japon, est la personne qui est définitivement l’exemple à suivre.

 

Quelques conseils de Taiji Kase

L’important est de progresser, chacun à son rythme, par rapport à soi et non par rapport aux autres. Nous savons que rien n’est acquis définitivement et qu’il convient de ne jamais perdre ni humilité ni patience.

5 ans de pratique, ou plus, permettent d’obtenir la ceinture noire de Karate Do. Mais ce niveau ne fixe que la mémorisation des techniques de base. Bien souvent au Japon, trois ans sont suffisants pour obtenir ce grade, mais l’entraînement journalier est de 2 à 3 heures. La ceinture noire 1er Dan est considéré égale à l’obtention du baccalauréat universitaire qui ouvre la porte aux études supérieures.

10 ans d’études du karaté : Elles vous permettront d’avoir de bonnes bases techniques générales. C’est seulement après ce niveau que l’on devrait commencer à enseigner quotidiennement, car il est très important que le professeur montre correctement les techniques de bases assimilées au cours de ces dix années. Il est indiscutable que l’on ne peut montrer correctement et d’une façon rigoureuse si l’on n’a pas le niveau requis.

15 ans d’entraînement : Outre un corps parfaitement formé et une bonne condition physique, ces 15 années permettront une application automatique de la technique, non pas de façon mécanique mais en permettant de développer l’esprit. Le réflexe blocage/contre-attaque doit être instinctif.

20 ans de pratique : La compréhension reste le trait dominant. Le travail mental arrive au même temps que la réalisation du physique. Ainsi doté de ce mental, le karatéka à ce niveau reste toujours en éveil, comme l’animal endormi que le moindre danger alerte. A partir de là, la vie est consacrée au Karaté Do, on ne peut plus changer de voie ou de destin.

30 ans de Karaté Do : Après cette évolution, l’action est la suivante : dans l’instant de la décision le corps arrive en exprimant la pensée (harmonie mental – physique). Est-il nécessaire de préciser ce que ces 30 années impliquent ? Entraînement régulier, kata, kihon, kumité. La comptabilité des années est étrangère à ce qui précède.

vers 40 années : C’est le niveau vers le sixième sens, une forme de télépathie sensitive de quatrième dimension pour le karatéka ayant atteint ce temps de pratique. On ne peut considérer que seule la réflexion permettra de progresser. La pratique et la réflexion sont toujours indissociables. L’enseignement à retenir de cette progression est que, au début du karaté Do, l’aspect auto défense domine. La notion d’adversité est primitive. Cette progression démontre qu’il ne faut pas combattre, mais aider l’autre et découvrir la voie. Il y a une transformation de la personnalité par la compréhension du partenaire, de l’adversaire.

 

Le magazine officiel de la fédération française de Karaté s’est penché sur le sujet

D’où viennent les grades ? C’est Jigoro Kano, créateur du judo, mais surtout grand esprit qui a voulu rassembler les arts martiaux, et au-delà tous les arts, les « voies » de son pays. C’était un homme moderne qui comprenait le sens de l’évolution de son époque et l’accompagnait. Il fut le premier président du Comité Olympique du Japon et son pays lui doit les Jeux de 1964, des années après sa mort. Lui-même était, un peu comme nous, à cheval entre le sport et la culture traditionnelle dont il avait compris la valeur. Il n’a jamais cessé d’ouvrir et d’avancer, mais sans renoncer à l’essentiel de la culture et des connaissances du passé. Nous lui devons notre tenue et nos grades.

Que symbolisaient-ils dans son esprit ? Le sens particulier de la pratique martiale, qu’il a clarifié toute sa vie. C’est lui qui a utilisé et popularisé le mot « do », qui exprime qu’une pratique qui devient une « voie » vise un double objectif, inséparable et interagissant l’un avec l’autre : le développement technique et celui de l’esprit. Ce que les Japonais désignent aussi par l’expression « Ki Ken Tai Ichi », « l’esprit, la technique — au sens de l’arme — et le corps ensemble ». Avec notre héritage chrétien, nous voyons les choses dans la dualité, le corps d’un côté, la tête de l’autre… Nous faisons des cases là où les Orientaux voient une unité. L’idéogramme japonais est une image claire que nous ne savons pas lire. Il y a tout dedans. « Do » montre un chemin à parcourir, un monde à explorer pour arriver à la compétence et à la maîtrise de l’esprit qui va avec. Jigoro Kano a souhaité que les grades symbolisent les étapes de ce voyage, toujours dans un souci de clarté et de pérennité. Avec nos différences culturelles, ces indications nous sont sans doute encore plus utiles qu’à ses contemporains japonais. On a vite tendance à l’oubli de notre spécificité. Le sport, la performance, la technique spectaculaire sont faciles à voir. L’esprit est invisible.

Que disent nos grades de la discipline ? Ils manifestent la prédominance de l’esprit. C’est la spécificité des arts martiaux. Il y a sans doute à peu près la même dynamique dans la pratique des boxes par exemple, les mêmes bienfaits à en retirer, mais ce n’est pas exprimé dans la culture de ce sport. Dans notre discipline, le but est clair et il serait bon que les pratiquants ne perdent jamais de vue cet aspect des choses. Notre pratique quotidienne est le véhicule de cet objectif double, technique, mais aussi mental. Sous tous ses aspects : La compétition est un test physique, technique, mais aussi mental – et c’est pourquoi la défaite est noble parce qu’elle permet une remise en question. Une séance sans concentration, c’est une occasion gâchée et un signe de faiblesse. Le dojo est l’espace symbolique de ce travail à double effet. Il faut s’efforcer de laisser les scories du monde extérieur en dehors.

Le grade, c’est donc d’abord un symbole fort ? Je crois qu’il est important pour chacun de s’interroger sur le sens de son grade. Sur sa signification symbolique. Le grade n’est pas une série de diplômes où l’on va du premier au dixième échelon comme dans la mentalité occidentale. C’est une progression circulaire, en quelque sorte. Une sphère, un cercle, comme celui formé par la ceinture nouée, dans lequel on commence ceinture blanche et l’on finit ceinture blanche, parcours accompli.

Quelle est la signification de chacun des grades ?

J’engage chacun à approfondir son point de vue personnel sur les quelques pistes de réflexion proposées…

Le premier dan, celui de la ceinture noire, est celui où l’on met de la technique sur le naturel. En quelque sorte, on salit l’instinct premier, on le tue. Vous avez atteint un niveau, celui du noir, symbole d’une valeur technique, mais aussi de la perte de l’instinct qu’on retrouve plus tard.

Le second dan introduit la dualité. C’est l’apprentissage du double et du doute. L’autre en nous-mêmes nous tend un miroir qui nous permet de mieux nous connaître et de mieux nous affronter nous-mêmes. C’est le combat pour la maîtrise du corps.

Le troisième dan est un grade important car c’est celui qui symbolise l’union des trois principes : le corps, la technique et l’esprit au-dessus, qui domine. à cette étape, l’esprit maîtrise le corps et la technique, ce que formulent les Japonais par l’expression « Shin-Gi-Tai » « L’Esprit, la Technique et le Corps ensemble ».

Le quatrième dan symbolise la maîtrise de la matière. C’est un niveau où le pratiquant doit avoir acquis le contrôle de ses émotions « viscérales ». La peur frappe au ventre et empoisonne l’esprit. Par exemple, si on vous jette une pierre, il y a de fortes chances que vous la preniez, car la peur va paralyser votre réaction. Si c’est une balle molle, vous saurez en revanche facilement l’esquiver. Ces émotions qui s’expriment par des crispations, le « ventre noué », doivent être maîtrisées. à ce grade, ces émotions-là ne doivent plus troubler votre esprit, qui commande les gestes.

Le cinquième dan indique la maîtrise parfaite de son art. C’est le temps de l’ouverture et des échanges pour confronter et comparer. C’est à ce niveau que l’on recommande en karaté d’aller voir les autres écoles.

Le sixième dan est une étape essentielle car c’est l’accomplissement du parcours volontaire. Tout ce qui pouvait être fait a été accompli sur le plan du travail technique. On entre dans le véritable travail de l’esprit.

Au septième dan, on bascule vers autre chose. Le travail de la maîtrise a été fait. Le mental, plus lent à arriver à maturité, continue de grandir. Le pratiquant accompli ne se tourne pas vers son passé glorieux, mais contemple ce qu’il y a encore devant lui.

Le huitième dan est une lisière, celui qui sépare les deux mondes, celui du visible et de l’invisible qui, pour les Japonais, sont intimement liés. à ce grade, le maître se tient sur la ligne entrelacée des deux mondes.

Au neuvième dan, le cercle du visible commence à s’effacer. L’esprit du pratiquant est orienté vers le monde de l’invisible et laisse derrière lui les limites du matériel.

Au dixième dan, seul l’esprit reste. C’est un cercle, un point parfait, comme celui que les samouraïs dessinaient avant la bataille pour indiquer qu’ils étaient dégagés de leur vie et de ses contingences. Un dépouillement, un détachement complet, qui n’est plus troublé par rien. C’est le retour à l’origine, au point de départ, à la pureté, à la modestie du blanc, symbole de renaissance, de renouveau. La boucle est bouclée, le voyage est terminé.

Fujiyama, Cerisiers et Samouraï…

Je suis toujours très impressionné quand je me rends compte de la diversité des échanges que nous avons au club.

Dans notre cercle très proche, nous avons des talents qui gagnent à être connus.

Je voulais aujourd’hui vous montrer le travail de personnes qui s’entraînent au club.

Aquarelle de Benoit : Mont Fuji et cerisier en fleur

Toile à l’encre de chine toujours par Benoit: Samouraïs

Ambiance par Jérôme: Brouillard dans la lande

Et pour finir, Cisco Herzhaft, bluesman international, managé par Deborah qui a mis en scène et filmé: Baby please don’t go

Vous pratiquez au SKN? Vous avez envie de partager vos créations?

N’hésitez pas!

 

Dates des passages de grades pour cette saison

Les dates des passages de grades organisés au club ont été décidées en fonction de l’actualité fédérale (stages, compétitions, etc …)

Le passage de grades de Mi Saison se déroulera le Samedi 27 Janvier 2018

Le passage de grades de Fin de saison se déroulera le Samedi 16 Juin 2018

Pour rappel, les candidats au passage sont convoqués par l’équipe éducative.

le passage est organisé de la même manière que les passages fédéraux, le candidat effectue une prestation jugée par un jury composé des ceintures noires du club.

La prestation porte sur des exercices imposés dans les thématiques Kihon, Kata et Kumite. Le candidat est également interviewé sur sa culture générale de l’univers du Karaté.

Chaque thème réussi permet l’attribution d’une barrette, l’obtention des 3 barettes octroire de facto le grade supérieur

Dans un souci pédagogique, la progression des enfants est découpée en demi ceintures (ceintures bicolores)

A vos agendas…

 

Et pendant les vacances???

Les vacances de la Toussaint viennent de démarrer.

Cependant, parce que nous pensons qu’il est important de continuer à pratiquer de manière régulière et que les pauses ne nous permettent pas de nous inscrire dans une progression régulière, Le SKN maintient l’ensemble des cours pendant les vacances!!

Entretenons ensemble notre motivation

Retrouvons nous sur les tatamis aux horaires habituels!!!

Nous accueillerons avec grand plaisir les visiteurs d’autres clubs qui ont leur licence à jour

Horaires et tarifs

Notre code moral, un héritage à faire vivre

Tous les samedis, au cours enfant et au cours adultes, nous demandons à Benoît de nous éclairer sur le code moral du Karate Do.  Cette explication prend une place très importante dans notre école, nous ne souhaitons pas former nos pratiquants sans les faire réfléchir sur la portée des préceptes que nous ont légué nos anciens.

Ainsi, nous espérons faire vivre le premier objectif de Funakoshi Senseï qui avait pour but de diffuser le Karaté pour “former des Hommes meilleurs”, c’est un projet compliqué, c’est un projet long qui n’a pas de fin,

mais c’est un projet que nous soutenons du mieux que nous pouvons au SKN.

 

LES NEUF VERTUS DU KARATEKA

Inspirées par les vertus du BUDOKA

1 – L’HONNEUR : MEIYO

C’est suivre un code moral et avoir un idéal de manière à se comporter dignement et respectueusement 

2 – LA FIDELITE : CHUJITSU

C’est le devoir et la nécessité incontournables de tenir ses promesses et de remplir ses engagements.

3 – LA SINCERITE : MAKOTO

C’est la qualité de celui qui ne déguise ni ses sentiments, ni ses pensées, de celui qui sait être authentique.

4 – LE COURAGE : YUKI

C’est la force d’âme qui fait braver le danger et la souffrance. La bravoure, l’ardeur et surtout la volonté sont les supports de ce courage.

5 – LA BONTE : SHINSETSU

C’est une des marques de courage. Elle dénote une haute humanité et nous pousse à être respectueux de la vie.

6 – L’HUMILITE : KYOKEN

C’est savoir être modeste, exempt d’orgueil et de vanité.

7 – LA DROITURE : TADASHI

C’est suivre la ligne du devoir et ne jamais s’en écarter. Elle nous permet de prendre sans aucune faiblesse une décision juste et raisonnable.

8 – LE RESPECT : SONCHOO

C’est savoir traiter les personnes et les choses avec déférence. C’est le premier devoir du Budoka.

9 – LE CONTRÔLE DE SOI : SEIGYO

C’est la qualité essentielle d’une ceinture noire car elle conditionne toute son efficacité.
Le code d’honneur et la morale traditionnelle enseignée par le Karaté-do sont basés sur l’acquisition de cette maîtrise.

 

A travers votre pratique du Karaté, faites en votre credo!

 

Nouveau! l’agenda du club

L’agenda du club est en ligne!

Accessible depuis le menu principal, il vous permettra de vous tenir au courant des rendez vous organisés par le club.

Il sera mis à jour très régulièrement

Dans le désordre,

  • les cours classiques (en période scolaire et pendant les vacances),
  • les passages de grade,
  • Les compétitions
  • les rendez vous fédéraux et de ligue
  • les stages

Et tout ce que vous jugerez utile!

N’hésitez pas si vous avez des suggestions qui permettront de faciliter l’accès à l’information pour la grande famille du SKN!!!

 

Enfin la rentrée…

C’est bien dommage! les vacances sont finies…

C’est bien heureux! Il est temps de reprendre les entrainements!!!

Nous vous attendons frais et dispos, avec le sourire et une envie folle de vous retrouver au dojo!

Pour cette reprise, le premier rendez vous sera le jeudi 7 septembre à partir de 19h au petit Dojo pour les inscriptions!

N’oubliez pas votre certificat médical, nous préparerons votre inscription et votre licence sur place!!!

Pour ceux qui en auront envie, rien de formel, mais nous en profiterons pour partager un petit entrainement de révision, ou de découvertes selon vos envies. Venez en kimono ou en tenue de sport!

Ce premier rendez vous sera donc essentiellement administratif et convivial

Le premier cours officiel de l’année se fera

le Samedi 9 septembre à 14h pour les enfants

et à 15h pour les ados/adultes

Le moteur commence à chauffer, la saison 2017/2018 va enfin démarrer au SKN!

 

Pas de cours ce samedi 20 mai 2017

Bonjour à tous!
Pour permettre de répondre favorablement à l’invitation exceptionnelle de senseï Franck Delsaut et en l’absence d’instructeurs diplômés.
les cours enfants et adultes ne seront pas assurés ce Samedi 20 mai 2017;
Par ailleurs, le DOJO est fermé le Jeudi 25 Mai, il n’y aura donc pas de cours également.
Merci à tous!
Et en particulier à la délégation qui participe au stage de demain!
Jérôme

Un nouveau site institutionnel pour le SKN

En tant que pratiquants, nous sommes toujours heureux de monter sur les tatamis.

Notre école s’est construite depuis 30 ans sur le partage de la passion du Karate. Elle s’est forgée une belle réputation pour l’accueil de tous les publics et toutes les motivations. Et chacun de ses adhérents contribue à sa belle histoire.

Notre pratique est au centre de tout. Alors parfois, nous laissons de côté certains aspects qui ne nous semblent pas si importants, comme la communication par exemple…

C’est ainsi que le premier site web a vécu bien trop longtemps et nous savions qu’il faudrait prendre du temps pour lui redonner une nouvelle jeunesse.

C’est désormais chose faite.

Bienvenue sur le nouveau site institutionnel de notre association

Profitez des articles, commentez, et alimentez notre communauté.

Déborah – Jérôme

Pourquoi pratiquer le Karaté?

Les qualités physiques générales (vitalité, force, résistance, souplesse, détente) sont rapidement et nettement améliorées.

La conduite motrice (coordination, latéralité, équilibre, réflexes, contrôle et spontanéité, adaptation et sens tactique ) se développe durablement.

La prise de conscience et la gestion du temps (rythme, opportunité) et de l’espace (prise de conscience du corps, équilibre, précision, concentration, vigilance et détermination) deviennent une seconde nature.

Le Karate est un art martial riche et esthétique.

Il propose des approches diverses telles que  études et recherches techniques libres ou imposées, self-défense, pratique sportive et culturelle profondément enracinée.

Le Karate est un paradoxe passionnant, la tradition, la modernité, et le progressisme sont parfaitement fusionnés dans cette discipline martiale.

Il apporte des améliorations sur l’individu : courage, décision, concentration, confiance, goût de l’effort, constance dans l’effort, dépassement de soi, courtoisie et efficacité.

Quand à la discipline, le réalisme, l’esthétisme offrent au langage du corps et à l’esprit du karatéka, une diversité qui lui permet d’exprimer sa personnalité et de satisfaire toutes ses motivations (loisirs, recherche personnelle ou didactique, compétition.

Mais vous découvrirez vite que le Karate devient vite un besoin et surtout un plaisir.

Christian Lermusiaux, 5ème DAN KARATEDO